jeudi 14 août 2008

Connaissez vous votre président ?

Patrick Weiten, ingénieur, homme politique

Dans un article du 16 juin 2008, nous vous parlions de PW et de son curriculum vitae paru dans le who’s who in France (consultable pour la modique somme de 6 euros). Ce dernier nous a été transmis gracieusement par une blogueuse que nous remercions chaleureusement.

En voici les principaux extraits :



WEITEN Patrick , Dominique, Emile Ingénieur, homme politique.
Né le 1er juillet 1954 à Yutz (moselle). Marié, deux enfants (nous faisons volontairement l’impasse sur les renseignements relatifs à sa famille).

Etudes :
- école et collège de Yutz
- lycée la briquerie à Thionville
- centre universitaire régional d’études techniques urbaines

Diplôme :
technicien supérieur.

Carrière :
1974 à 1984 : technicien
1984 à 1986 : ingénieur du génie urbain
1986 à 1992 : directeur des services techniques Le tout à la mairie de Yutz.
1992 à 1994 : directeur , président directeur général (1995) de la Sodevam Nord Lorraine
1994 à 1998 : directeur de la société Crel

Maire de Yutz depuis 1995
Conseiller général et vice-président du Conseil général de la Moselle depuis 1998
Président de l’agence de prévention et de surveillance des risques miniers depuis 2005
Vice-président de la communauté d’agglo de Thionville depuis 2004 et président depuis 2008.

Notre président s’intéresse à Jean Gabin, Jacques Brel, Charles de Gaulle et John Kennedy. Il pratique le tennis et il est membre de la confrérie du Tastevin du Clos-Vougeot, du Cercle Charlemagne à Metz et de la Confrérie Saint –Nicolas.


Avec ces quelques renseignements, vous connaissez mieux votre président, du moins nous l’espérons.

13 commentaires:

Anonyme a dit…

de grace , vous auriez pu eviter de remettre une photo, ici il y en a deja beaucoup et ses amis du repu et de l'oignon s'en chargent bien suffisement.
ce diplome d'ingenieur ej serait curieux de le voir!ben oui je suis comme St Thomas!!!
passé a la cimenterie d'Ebange peut etre?

Anonyme a dit…

on s en fout

Anonyme a dit…

Merci pour ce CV
Sincèrement il a été inutile car il suffit de constater ce qu'a fait cet homme pour sa ville
Je suis heureuse qu'il soit Président de la communauté de l'agglo de Thionville

Anonyme a dit…

Qu'il ait ou pas un diplome d'ingénieur on s'en fout comme de l'an 40...
Un ancien premier ministre de la France (Beregovoy) était mécanicien automobile, alors avec un BTS + un éventuel diplome d'ingénieur on peut bien être maire de Yutz et Président d'agglo: n'en déplaise à certains!!!
Ciao...

Anonyme a dit…

Faudrait savoir, Béré n'a jamais dit qu'il était ingénieur que je saches, alors weiten il est ou pas ?, je m'en fout des diplômes mais pas de mensonges.

Anonyme a dit…

voilà bien toute la question ... ne pas etre ingénieur et arrivé à un niveau élevé socialement est tout à la gloire de ceux qui y arrivent ; se fabriquer des titres en confondant GRADE ADMINISTRATIF et DIPLOME D'INGENIEUR D'ECOLE IMAGINAIRE, c'est moins glorieux ... beaucoup moins glorieux en effet !

Anonyme a dit…

Merci de rectifier vos arguments 18h52.

Voici ce que représentait Pierre beregovoy, serviteur de notre république . J'ajoute qu'il repose à proximité de bernadette Soubirous. A cogiter au féminin comme au masculin :

" On la quitte plus fort et plus assuré qu'on est venu "



Il est le fils d'Hélène Baudelin et d'Adrien Bérégovoy, un capitaine russe blanc et menchevik. Ce dernier, né à Izioum dans la région de Kharkiv en Ukraine, a immigré en France où il tint un café-épicerie. À l'âge de 5 ans Pierre Bérégovoy est pris en charge par sa grand-mère.

Il a eu trois enfants : Catherine, Lise et Pierre. Catherine Bérégovoy-Cottineau, sa fille ainée a été élue conseillère municipale de Clichy sur la liste socialiste en mars 2008, et est déléguée aux retraités et personnes âgées.


Son frère, Michel Bérégovoy, est également engagé en politique. Ancien député socialiste de Seine-Maritime, il est Vice-président du conseil général de Seine-Maritime. Le fils de ce dernier, Jean-Michel Bérégovoy, est un élu Verts au conseil municipal de Rouen depuis les dernières élections et l'épouse de Jean-Michel, Véronique Bérégovoy est présidente du groupe Verts au Conseil régional de Haute-Normandie.


En 1937 : il obtient son certificat d’études.
En 1941 : son père tombant gravement malade, il quitte le lycée, obtient un Brevet élémentaire industriel, un CAP d’ajusteur, un CAP de dessinateur industriel.
Pierre Bérégovoy était aussi diplômé de l'Ecole Nouvelle d'Organisation Scientifique du Travail selon Georges Cottineau, gendre de Pierre Bérégovoy.


Carrière professionnelle 1941 :
il travaille à l'âge de 16 ans pendant neuf mois à l’usine de tissage Fraencker en tant que fraiseur.
1942 : il entre sur concours à la SNCF en tant que cheminot. Rencontre avec Roland Leroy. Il entre dans la Résistance via le groupe « Résistance-fer ».[réf. nécessaire] Il s'engage également dans les jeunesses socialistes.
Juin 1944 : il participe à la libération de la banlieue rouennaise[réf. nécessaire]
1949 : il entre au cabinet de Christian Pineau, ministre des Travaux publics et des Transports dans le gouvernement Henri Queuille, comme chargé des relations avec les syndicats
1950 : il entre à Gaz de France comme agent technico-commercial à Rouen puis obtient en 1957 sa mutation pour Paris
1972 : il est promu chargé de mission à GDF
1978 : il termine sa carrière comme directeur adjoint à GDF

Engagement politique [modifier]
mai 1946 : il adhère à la SFIO et créera une section syndicale tendance FO.
1949 : il dirige l’hebdomadaire socialiste La République de Normandie.
1958 : il quitte la SFIO pour participer à la fondation du futur PSU en 1959, et y devient à partir de 1960 collaborateur de Pierre Mendès France en charge des questions sociales.
1967 : il quitte le PSU pour adhérer à l'Union des clubs pour le renouveau de la gauche animée par Alain Savary.
1969 : il rejoint le « nouveau Parti socialiste » au congrès d’Alfortville,
1971 : il participe au congrès d’Épinay du Parti socialiste, puis aux négociations en vue de la signature du programme commun.
1973 : il devient secrétaire national chargé des affaires sociales puis à partir de février 1975 chargé des relations extérieures.
1974 : il participe à la campagne présidentielle de François Mitterrand.
1977 : il négocie avec le PCF « l’actualisation du programme commun »

Fonctions politiques [modifier]
21 mai 1981 - Juin 1982 : secrétaire général de l’Élysée après l'élection de François Mitterrand à la Présidence de la République
Juin 1982 - Juillet 1984 : ministre des Affaires sociales gouvernement Pierre Mauroy
Juillet 1984 - Mars 1986 : ministre de l’Économie et des finances dans le gouvernement Laurent Fabius
Mai 1988 - Mai 1991 : ministre d’État, ministre de l’Économie et des finances dans le gouvernement Michel RocardConverti à l’économie de marché, Pierre Bérégovoy s’attache à *stabiliser le franc (« politique du franc fort »), afin de faire baisser l’inflation, ainsi qu’à libéraliser les marchés financiers et à moderniser la Bourse. Cette politique lui vaut une réputation de gestionnaire compétent auprès des milieux d’affaires
Mai 1991 - Avril 1992 : ministre d’État, ministre de l’Économie, des finances et du Commerce extérieur dans le gouvernement Édith Cresson
Avril 1992 - Mars 1993 : Premier ministre (et ministre de la Défense du 9 au 29 mars) (voir gouvernement Pierre Bérégovoy)
En avril 1992, François Mitterrand le nomme Premier ministre, en remplacement d'Édith Cresson. À ce poste, il doit affronter les attaques qui visent sa majorité, notamment en raison d'instructions judiciaires pour corruption touchant des proches du président de la République. Lui-même mis en cause, il est de plus confronté à la persistance des difficultés économiques et au mécontentement de la gauche, qui voit en lui le symbole du ralliement des socialistes au libéralisme économique

Mandats locaux [modifier]
Septembre 1983 - Mai 1988 réélu en 1989 : maire de Nevers
Mars - Mai 1993, maire de Nevers
Conseiller général d’un canton de Nevers de la Nièvre, 1985-1993

Mandats de Député [modifier]
1986 - réélu en 1988 réélu en 1993 : député de la Nièvre
30 Mars - 1er Mai 1993 : député de la Nièvre
Pierre Bérégovoy se suicide près de Nevers le 1er mai 1993. Il meurt quelques heures plus tard lors de son transfert héliporté vers l'hôpital militaire du Val-de-Grâce (voir chapitre suivant sur la polémique sur les causes du décès). Ses obsèques ont lieu quelques jours plus tard à Nevers, en présence du Président de la République et d'autres personnalités politiques françaises. Il est enterré à Nevers.

Anonyme a dit…

Par curiosité, j'ai été sur le site du who's who et j'ai tapé weiten et oh surprise je trouve un lien avec P. Leroy, président du conseil général et L. Fourny, haut fonctionnaire au même conseil : soit les 3 personnalités les plus importantes du conseil de Moselle. Quand on sait que les inscriptions sont payantes au who's who, on devine aisément qui a payé pour ces personnes : le contribuable mosellan.
Merci ! et tout ça pour soigner leurs égos !!!!

Anonyme a dit…

Avec cet acharnement contre PW on peut vraiment se demander s'il vous dérange. Bref, si on s'interroge seulement sur le fait de savoir s'il a son diplome d'ingénieur ou pas c'est que l'on a rien d'autre à lui reprocher et là j'avoue que je suis complètement d'accord avec vous. A vous de réagir... En tout état de cause ça ne servira pas à grand chose car il faudra compter encore longtemps sur lui...

Anonyme a dit…

et quel est son acharnement à lui à vouloir se donner des titres qu'il n'a pas !!!!!!!!

Thionville-vérité a dit…

Additif :
Non seulement PW est chevalier du Tastevin (Clos-Vougeot) mais également Chevalier des Palmes Académiques.

Anonyme a dit…

tout cela est pompeux, pompeux....pompeux..........pompeux, un vrai shadok!
une question; combien de temps arrive t'on a marcher avec des chevilles surdimensionnées sans se prendre une bûche?

Anonyme a dit…

Thionville Verite, c est super comme infos, vous apportez vraiment qquechose au débat politique..